[DE-FR] Der lange Arm der Repression - Le long bras de la repression: Vortrag zur Europäischen Verfolgung von Dissens - Presentation sur la poursuite de la dissidence

Vortrag zur Europäischen Verfolgung von Dissens - Presentation sur la poursuite de la dissidence

Über die Europäische Union haben sich ihre Mitgliedstaaten zahlreiche Möglichkeiten geschaffen, mit denen Personen über Grenzen hinweg verfolgt werden können. Im Rahmen der Europäischen Ermittlungsanordnung können Verfolgungsbehörden jeden anderen EU-Staat anweisen, Hausdurchsuchungen vorzunehmen, Telefone abzuhören oder Trojaner auf Computer einzuschleusen. Jetzt soll die Herausgabe von persönlichen Daten auf Servern im Internet weltweit vereinfacht werden. Auch die Datenbanken von Polizei und Grenzbehörden werden erneuert, ihre Fingerabdruckdaten in einem sogenannten Biometrie-Speicher zusammengelegt. Die Datensätze von Geflüchteten werden jetzt schon mit Gesichtserkennung durchsucht. Im Schengener Informationssystem, der größten EU-Polizeidatenbank, an der auch die Schweiz teilnimmt, sind immer mehr Menschen zur heimlichen Verfolgung oder mit einem Europäischen Haftbefehl zur Festnahme ausgeschrieben. Darüber hinaus kann über Interpol ein nationaler Haftbefehl an die Kriminalpolizeien von 190 Staaten verteilt werden. Schließlich existieren weitere polizeiliche und geheimdienstliche Netzwerke außerhalb des EU-Rahmens, in denen sich die Beteiligten zu Operationen und Strategien abstimmen.

Matthias Monroy ist Journalist und hat in den vergangenen Jahren viel Arbeit in das Verständnis der Strukturen deutscher und internationaler Repressionsapparate investiert. Er arbeitet unter anderem für die Zeitschrift CILIP - Bürgerrechte und Polizei – welche seit den 70er Jahren über Stände und Misstände der Repressionsorgane in Deutschland informiert.


Les Pays membres de l‘union europeenne ont crée de nombreuses possibilitées de poursuite de personnes au delá des frontiéres. Les autorités peuvent, dans le cadre de décisions d'enquêtes européennes, commander á d’autres pays de l’Union Europeen perquisitions, écoutes de téléphones ou infiltrations d’ordinateurs par trojens. Aujourd’hui, lá pubilcation de données personelles sur serveurs sur internet doit etre facilitée dans le monde entier. Ègalement les polices et les autorités frontalières sont en train de renouveller leurs banques de données,et de rassembler leurs banques d’empreintes digitales dans une ‘mémoire biométrique’. Les données de fiches de régugiéEs sont déjà aujourd’hui fouillées avec la reconaissance faciale. Dans le Système d’informations de Schengen, la plus grosse base de données policière de l’UE, dont la Suisse fait également partie, sont de plus en plus de personnes cibles de recherches discrètes et de mandat d’arrét européen. De plus, Interpol peut distribuer un mandat d’arret national aus polices criminelles des 190 Pays. Ils existent également d’autres résaux police et de de services de renseignements à l’exterieur de l’Union Européenne, dans ĺesquels les membres prennent des décisions opératives et stratégiques.

Mathias Monroy est journaliste. Il a dans les dernières années beaucoup travaillé sur la compréhension des structures de répressions allemandes et internationales. Il travaille entre autre pour le Journal CILIP – Droits citoyens et repression- qui informe depuis les années 70 sur les organes de repressions en Allemagne.


 

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